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Jukebox

Jukebox poursuit les recherches d'Olivier Bioret sur le format et remet en cause les places et durées ordinaires du spectacle.
L'expérimentation consistera en une grande série de formats très courts. Des danses de trois à dix pages, c'est à dire deux à cinq minutes pour chaque danse.
Comme une compilation de chansons, une playlist. Un format extrêmement plastique , modulaire, à l'intérieur duquel choisir sélectionner.
Ce choix s'impose par la volonté d'élargir le travail de composition, de lui donner une place la plus grande possible pour déployer l'écriture, la libérer de ses
contraintes pratiques, en faire la matrice d'un tourbillon de danse joyeuse.
Pour y parvenir, on prend la décision de couper, radicalement, le projet en deux phases : une première phase d'écriture et une phase de réalisation, la
première phase complètement ignorante de la seconde, en écrivant sans égard pour les aspects de représentation et de scène.

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